Les ondes de formes, qu'est-ce que c'est ?
Tout, absolument tout, est vibration. Tout ce qui existe, visible ou invisible, porte une fréquence vibratoire. Comme l’a cité Nikola Tesla « Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence, d’information et de vibration ».
Les infrasons
Les vibrations de l’air provoquent des sons audibles, mais aussi inaudibles en dehors d’un spectre de fréquence 20 Hz – 20 kHz (seuil audible de l’humain). Les infrasons inférieurs à une fréquence de 20 Hz (inaudible) et les ultrasons, souvent mieux connus, supérieurs à 20 kHz.
Si le bruit audible est une préoccupation majeure, l’exposition assez intense et répétitive à des infrasons peut aussi avoir des répercussions néfastes sur la santé, en provoquant des symptômes physiologiques et psychiques (inconfort, fatigue, irritabilité, céphalées, vertiges, nausées, etc.) variables selon la sensibilité des individus.
Savez-vous que les infrasons sont également produits naturellement dans la nature ?
Par exemple le tonnerre, les éruptions volcaniques, les tremblements de terre, les météorites, les chutes de roches, les cascades d’eau, les aurores boréales et tout autre phénomène qui provoquent de brusques variations de pression, sont des sources naturelles d’infrasons.
Pour exemple, lors du tremblement de terre en Alaska le 28 mars 1964, les ondes électromagnétiques ont été émises verticalement et réfléchies dans des très hautes altitudes par l’ionosphère à plus de 60 km tel un haut-parleur géant générant des ondes sonores. Rien en fait n’arrête la propagation des infrasons, pas même les vents, ni les tempêtes, ni même les murs qu’ils peuvent traverser.
Les vibrations produisent sur nous des effets plus ou moins puissants que les mots peuvent difficilement décrire, même si nous pouvons les ressentir, en particulier par notre cage thoracique (siège de notre cœur et zone fortement magnétique). Pour les personnes sensibles cela se traduit par un « quelque chose qui se passe », « une atmosphère que l’on ressent » sans toutefois savoir de quoi il s’agit. Notre vie quotidienne subit une pollution néfaste. Il en va de même que les voitures, les motos, les bus ainsi que les avions, les trains, bref, tout engin motorisé soit il émet des infrasons tous susceptibles d’avoir un effet nocif ou non, sur notre métabolisme.
La cymatique
La cymatique est l’étude du son rendu visible. Le mot vient de la racine du mot grec « cima » qui signifie vague, onde et vibration. Cette technique illustre les fréquences sonores qui se déplacent à travers un milieu particulier tel que l’eau, l’air, le sable et modifient directement la vibration de la matière.
Nous connaissons tous les bienfaits que peut produire la musique, bien que ‘les bienfaits’ puissent variés au cas par cas sur nous, étant donnée notre configuration personnelle, un certain son/genre musical peut nous irriter fortement ou au contraire nous relaxer.
L’effet des sons sur notre corps et la géométrie sacrée, plus particulièrement, ont été démontrés par le physicien et musicien allemand Ernst Chladni au cours du 8ème siècle. Il découvre qu’en mettant du sable sur un disque de cuivre et qu’en frottant le bord avec son archet de violon, la plaque en métal vibre et déplace le sable, en créant d’authentiques formes géométriques. Chladni archiva un catalogue entier de ses formes que l’on désigne aujourd’hui comme « les figures de Chladni ». C’est dans les années 60 qu’un certain Hans Jenny, médecin et naturaliste suisse, né à Bâle en 1904, développa le travail de Chladni en utilisant des fluides variés comme l’eau mélangée à l’amidon de maïs et l’amplification électronique pour créer des fréquences sonores. Il inventa une nouvelle science, la cymatique.
Comme une présentation vaut 1000 mots, je vous laisse visionner ses deux vidéos qui illustrent parfaitement la science de la cymatique.
Le nombre d'or
Lorsque l’on observe les formes produites par la nature, il est fascinant de voir à quel point le vivant est structuré selon certaines règles d’harmonies mathématiques.
Le tournesol, le chou romanesco, la coquille d’escargot, même les galaxies et bien d’autres encore, elles font toutes partie d’une suite mathématique appelée la suite de Fibonacci ou mieux connue sous « le nombre d’or ».
En mathématiques, la formule se présente comme ceux-ci :
(a+b)/a = a/b, « a » et « b » étant deux longueurs, « a » la plus grande et « b » le plus petit. On peut donner une valeur rapprochée du nombre d’or qui est de 1, 618 033 988 749 894 848 204 586 834 365 638 117 … sa valeur décimale est infinie.
Ainsi la suite de Fibonacci s’écrit : 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, etc.
Plus on avance dans les nombres, plus le rapport entre deux valeurs consécutives se rapproche du fameux nombre d’or. Cette suite correspond de façon graphique à une spirale. Ces formules mathématiques visent à reproduire l’harmonie de la nature et de l’univers dans les réalisations humaines.
Pour certains, cette harmonie est le reflet de la divinité.
Les formes géométriques des cristaux
Pyrite
Composition chimique de la Pyrite
Chlorure de sodium (sel)
Les formes géométriques sont de haute importance dans plusieurs domaines de la spiritualité. Parmi de nombreux exemples, on trouve les formes géométriques des cristaux. En effet, l’observation de gemmes (calcite, quartz, etc.) montre que beaucoup des cristaux sont délimités par des facettes, planes, régulières, qui se coupent à angles vifs selon des géométries bien définies en fonction de la nature du minéral et classés en fonction de leurs formes : cube, dodécaèdre, pyramidale ou des volumes plus complexes à face planes appelés polyèdres. Chaque forme renvoie à un ensemble type de caractéristiques particulières.
Un exemple parmi tant d’autres, celle de la Pyrite dont la structure moléculaire semble parfaitement cubique.
De telles géométries existent aussi dans des cristaux autres que les minéraux. Si l’on dissout en quantité suffisante du gros sel de cuisine (de composition chimique NaCi « chlorure de sodium ») dans de l’eau qu’on laisse s’évaporer lentement, il en reste des cristaux de forme cubique.
On en trouve aussi dans les cristaux de glace qui se forment lorsque l’eau gèle. Des formes spectaculaires peuvent être observées à la loupe et mieux encore au microscope. La majestuosité mathématique de la nature dans l’infiniment petit.
Cette surprenante régularité des formes a incité des scientifiques à les examiner minutieusement à l’œil nu et à la loupe, afin d’en déterminer les règles, bien avant que la notion d’atome soit reconnue et acceptée. La cristallographie est née.
Les vibrations
La vibration est la vitesse de rotation d’un électron qui se déplace autour de l’atome. Fréquence, vibration ou fréquence vibratoire sont ici synonymes. La vibration est régie par des lois telles que la résonance, l’attraction, la répulsion, etc. ainsi que par des émotions comme la compassion, l’amour, la joie par exemple.
Par conséquent, nous sommes tous des êtres vibrants sur certaines fréquences. Chaque vibration équivaut à un sentiment et dans le monde « vibrationnel », il n’y a que deux espèces de vibrations: positive ou négative. Un sentiment émet une vibration qui peut être soit l’un soit l’autre.
En radiesthésie, la vibration d’un être vivant tel qu’il soit, animal, humain, plantes ou bien même les objets, se mesure en unité Bovis.
Comme l’ont démontré les travaux de Georges Lakhovsky, écrivain et chercheur russe né le 12 septembre 1870, chaque cellule oscille. Dans notre corps, les membranes présentent des charges négatives à l’intérieur et positives à l’extérieur, elles sont de l’ordre de 106 volts par mètre (V/m). C’est ensuite la moyenne des vibrations de toutes les cellules du corps qui donne le taux vibratoire d’un individu.
Si l’on prend l’unité de Bovis comme référence de mesure, le taux moyen d’un individu se situe entre 6 500 et 8 000 Bovis. Notre organisme se branche alors avec les vibrations du champ correspondant à la loi de résonance ou loi d’attraction (cause à effet). Positif = attire le positif, négatif = attire le négatif.
Il en va de même pour notre planète, chaque saison à sa vibration.
Les personnes sensibles aux changements de saison seront ravies de savoir que c’est dû à un changement de fréquence vibratoire.
Au printemps, la planète expire l’énergie et renforce ainsi les organismes vivants. Sa fréquence vibratoire sort du sommeil par la montée de la sève, en autres, et commence à animer tout ce qui vit.
En l’été, l’expiration de l’énergie est à son apogée, la douceur du soleil s’intensifie, la végétation est dans une richesse exacerbée, les hommes sont au temps des vacances. La fréquence de joie s’intensifie.
En l’automne, la vibration de notre planète passe à l’inspiration. On peut dire qu’il y a une inspiration par les « poumons » de la Terre, ce qui affaiblit les organismes vivants. Les feuilles des arbres tombent, la sève descend, le règne végétal se prépare à la dormance.
C’est une transition importante pour nous, qui peut induire une nostalgie et une certaine forme de déprime. Si nous restons à l’écoute de notre corps, cette transition nous oriente vers plus de temps de récupération et de repos.
En l’hiver, l’inspiration de l’énergie est à son maximum, le rythme des végétaux sont ensommeillés, la nature nous invite à la contemplation, la patience et la sagesse. La fréquence de chaque cellule change, le corps ralentit. Ce ralentissement provoque une stagnation d’énergie à l’intérieur de nos cellules. Il est plus important que jamais de suivre le rythme ou du moins de s’en rapprocher. Retenez qu’en hiver, le printemps n’est jamais bien loin.
Les ondes de formes
Maintenant que vous en savez plus sur les ondes en tout genre, j’aimerais vous parler des ondes de formes. Comme nous l’avions vue tout à l’heure, le son crée des formes (la cymatique), mais cela vaut aussi dans le sens inverse. Les formes créent des sons, inaudible certes, mais bel et bien présente. C’est tout le principe des ondes de formes. Elle se caractérise par une forme harmonieuse qui émane une fréquence spécifique due à sa forme.
Petite expérience rien que pour vous
Nous entrons là, dans le domaine du mystère, car non reconnu par la science, et pourtant, il y a eu des batteries de tests qui ont été faites et malheureusement non mises au jour. Lorsque l’on cherche un petit peu, nous trouvons des traces de civilisations antiques qui attribuaient une importance capitale aux formes. L’un des exemples les mieux connus est celui des pyramides d’Égypte ou d’Amérique latine. Les pyramides sont des lieux sacrés, de connexion avec le divin et l’au-delà. Si bien des mystères subsistent quant à leur fonction exacte mais une chose est sûre : ces formes n’ont pas été choisies par le fruit du hasard. Il est fortement possible que ces civilisations aient eu des connaissances plus avancées que les nôtres sur bien des sujets et que malgré nos technologies actuelles nous ne soyons pas plus en avance.
L’onde émise par une forme agit bien au-delà de son harmonie esthétique et de sa potentielle signification. Les ondes émises par les formes nous atteint tant sur le plan physique, que psychologique et émotionnel.
L’expérience à été faite en deux temps :
Dans un récipient, de l’eau minérale a été congelée avec une fleur de vie en guise de dessous de verre, puis le lendemain, identique, mais sans la fleur de vie. Bien sûr toujours au même endroit et le même temps de congélation, soit 12h.
Je vous laisse observer le résultat avec et sans fleur de vie. Faites-en votre propre opinion. Ce n’est qu’un test parmi tant d’autres, mais on peut supposer que les ondes de formes ont un impact significatif sur l’eau et donc sur notre métabolisme.
Et dites-vous que, ce n’est qu’une forme géométrique…